Communiqué du 29 avril 1998
La mise en examen de Roland Dumas rappelle aux Français les turpitudes du Parti socialiste. Le silence de Lionel Jospin est d'ailleurs assourdissant.
Le Premier ministre doit demander à son ami et ancien collègue Roland Dumas de démissionner. Tant que Monsieur Roland Dumas n'aura pas démissionné, le Conseil Constitutionnel ne pourra pas fonctionner normalement et cette haute institution sera discréditée.
La modernisation de la vie politique dont se gargarise Lionel Jospin, c'est avant tout la moralisation de la vie politique. Il faut que la France coupe le cordon avec le Mitterrandisme.